2-La légende de Saint-Nicolas

  • Vitrail communément appelé « la légende de Saint-Nicolas ». Vitrail de GRUBER 1928 (né le 25 février 1870 à Sundhouse et mort le 15 décembre 1936 à Paris). Grand Vitrail passer le pont.
  • Le cuveau et les trois très jeunes enfants assurent l’identification certaine du saint tant ils font partie de sa légende.
  • Le pont est quasiment le centre du vitrail avec la Meurthe, comme en 1862 (figuration au XIXᵉ siècle) qu’il enjambe. Nous sommes au centre de notre action.

L’ange, à gauche, est sensé

protéger Varangéville et une

ferme (le prieuré ?)

L’ange de droite, protège Port,

sa basilique,

son environnement urbain.

  • La partie basse, triptyque de la vie pendant la guerre de 1914-1918. Déclinaison de l’Angélus dans ses trois AVE MARIA : Matin ; Midi ; Soir (jeunesse, maturité, vieillesse). Ce triptyque fonctionne comme une évocation en trois temps d’une vie de famille pendant la première guerre mondiale.
  • Dans la scène de droite, l’image du soldat s’impose par ses blessures affichées comme par son uniforme bleu de 1914 avec encore son pantalon rouge du début de la guerre.

Visite guidée contacter l’association Tel : 06 26 42 29 21

 

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Les présentations des vitraux ont pour références l’interprétation de :

Émile BADEL 1861/1936

Membre société philomathique vosgienne, professeur de littérature et d’histoire à l’école professionnelle de l’Est et en 1910, secrétaire de rédaction au journal l‘Est républicain. Émile Badel a rédigé de nombreux travaux (monographies et articles de revue) sur la Lorraine et son histoire. Il a également fondé avec l’abbé Carrier le Musée historique de Saint-Nicolas-de-Port.

Pierre Sesmat 1949/2024

Membre société française d’archéologie, membre équipe de recherche UMR 7002, unité de recherche sur l’église et étude sur les églises halle (12 /17ᵉ siècles).

Jacques Choux « dit abbé choux » 1919/2002

Érudit lorrain, historien français et ancien conservateur au musée lorrain de Nancy.